Whiterose se la joue Smoking Man avec les montages en début d'épisode, rigolo.

Sinon, un épisode poignant centré sur Elliot/Darlene, absolument poignant dans leur double deuil de leur mère/d'Angela. La série touche vraiment au sublime quand elle se calme un peu sur l'esbroufe et se recentre sur les personnages... Jusqu'au twist final assez dingue dont j'ai du mal à saisir vraiment l'ampleur à ce stade (je n'ai pas identifié la femme avec le petit Elliot à la fin, c'est sa mère ?)

Vraiment curieux de voir ce que ça va donner, mais c'est un sacré casse-tête scénaristique que s'est imposé Esmail dans la dernière ligne droite.

Je suis particulièrement fan de la gentille dame en apparence qui fait de la taxidermie et qui secrètement me fait plus flipper que tous les autres persos du show. Pauvre Dom.

Un épisode où Darlene et Elliot prennent le temps de parler, où Price se rebelle contre Whiterose et où la fin se met en place petit à petit. Pas l'épisode le plus riche en événements mais il fait du bien. Et puis, DAMN cette fin ? Je n'y crois pas vraiment pour l'instant, à leur histoire de troisième alter ego, nous verrons bien..

Elliot et Darlene sont réunis dans cet épisode aux scènes assez inégales mais dont certaines sont vraiment bonnes. C'est surtout la fin, en fait, qui vaut le coup d'œil, avec leur échange dans la banque, et bien sûr le flashback entre Elliot et sa mère. WTF, le third one ?!

De son côté, Dominic est bien dans la merde, piégée comme l'était Angela (différemment, mais même principe) et l'intrigue globable avance avec un plan qui commence à se dessiner : Deus, le talon d'achille de Whiterose.

En tout cas, voir le frère et la sœur se retrouver, se parler, permet de repartir à zéro (surtout après les révélations de Darlene) et de leur donner un peu de force pour le difficile combat qui les attend. C'était mélancolique, triste, nostalgique... Parfaitement inscrit dans des fêtes de fin d'année solitaires.